On a déniché sur un site algérien (le "Portail algérien des énergies renouvelables", site gouvernemental) ce texte stimulant et original. L'autoproduction d'électricité, et la manière dont les autoproducteurs donnent ou prennent au réseau selon leurs besoins, est comparé au web 2.0, soit le nouvel usage du web, plus collaboratif que passif.
"Dans les pays qui ont développé ce concept qui marie les technologies de l’information à celles de l’électricité, le client passe progressivement d’un statut de simple consommateur à celui d’acteur à part entière du système électrique sur lequel il influe en contrôlant sa consommation ou en y injectant de l’électricité. Les opérateurs gestionnaires des systèmes électriques disposeront également d’une meilleure connaissance de cette consommation et anticiperont mieux la demande", développe l'auteur, Nadjib Otmane. A lire, en attendant qu'Hydro Québec franchisse le pas du rachat d'électricité auto-produite.
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